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le bas de pageGeorges Vezzosi nous a quitté dans l’après-midi du 18 juin 2003
Georges était un très grand scientifique formé à l’école de Blanc-Lapierre.
Il faisait partie des membres fondateurs du L2S.
Exemplaire dans la plus haute idée de la science que nous partagions mais aussi dans l’humanité de la vie ordinaire où il aura su animer des discussions toujours passionnées.
Il était et restera un ami.
Myriam Baverel Chercheur au L2S à Gif-sur-Yvette (Revue interne Supélec Brevelec n°158)
Diplômé en 1967 de Supélec, il se lancera rapidement dans la recherche en traitement du signal à l’Université d’Orsay, sous la férule de Bernard Picinbono. Attaché de recherche au CNRS, il fera partie de l’équipe signal du LSS jusqu’en 1977.
Il décide alors de passer dans l’enseignement supérieur et rejoint l’Université de Rennes 1, comme Maître de Conférences, puis comme Professeur, dans le laboratoire dirigé par Pierre-Yves Arquès (aujourd’hui LTSI - Laboratoire de Traitement du Signal et des Images ). C’est à ce titre qu’il a collaboré comme enseignant et comme chercheur avec le Campus de Rennes de Supélec.
Il laisse le souvenir d’un scientifique d’une passion débordante et communicative, d’un grand caractère et d’une honnêteté inflexible, et si nous pouvons citer les mots d’un de nos collègues du LTSI :
"Georges était un très grand scientifique formé à l’école de Blanc-Lapierre. Exemplaire dans la plus haute idée de la science que nous partagions mais aussi dans l’humanité de la vie ordinaire où il aura su animer des discussions toujours passionnées. C’était et cela restera un ami".
Il laissera un souvenir ému dans le coeur des personnes avec qui il a travaillé sur le Campus de Rennes pendant de nombreuses années.
Georges Vezzosi laisse une femme et trois filles à qui nous adressons nos sincères condoléances.
Une cérémonie religieuse se tiendra en l’Église Saint-Augustin de Rennes le samedi 21 juin à partir de 14h 00.
Yves Quénec’hdu (1966), Michel Mathieu (1967), Professeurs à Supélec (revue Flux)
Hommage rendu par le Laboratoire Traitement du Signal et de l’Image (LTSI)
dans une plaquette éditée en 2009 à l’occasion du 40e anniversaire de la création de ce laboratoire en 1969.
document original et complet
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Didier Hoche nous a quitté le 3 mars 2009
Didier HOCHE, était né en 1943 au Maroc, mais avait été élevé à Sarreguemines en Lorraine où, dès les classes maternelles, il avait pour copine de jeu, une certaine Bernadette, que nous avons tous connue quand, étant entré à Supélec en 1964, Didier avait su trouver un job au labo de langues pour celle qui était devenue sa fiancée que nous appelions alors et depuis Nadou.
Didier et Nadou furent de ceux qui s’embarquèrent pour le Brésil en juillet 1967... où ils restèrent même encore quelques temps après le gros de la troupe, afin de se rendre jusqu’à Bahia.
Sitôt rentrés du Brésil, sitôt mariés, et ils firent de leur mariage un vrai triomphe en le célébrant le jour anniversaire d’Austerlitz, le 2 décembre 1967 !
Comme les saumons qui retournent au lieu de leur naissance, Didier partit alors, avec Nadou, au Maroc en coopération où il fit, entre 1967 et 1970 les études socio-économiques des besoins en énergie électrique de Casablanca qui servirent aux travaux d’électrification des trente années suivantes. Leur premier fils, Xavier, naquit par conséquent à Casablanca en 1970.
Didier, toujours accompagné de femme et fils, partit à New York en 1970 pour faire un MBA à Columbia-University.
À son retour il passa trois ans à Grenoble chez Merlin-Gerin, comme chef de produits des disjoncteurs industriels « Le DOU ». À Grenoble, plus exactement à Saint-Martin-d’Hères, en 1973, naquît leur second fils, Jean-Benoît.
En 1975, il intégra l’entreprise HAFFNER de son beau-père qui produisait des coffres et autres dispositifs de sécurité pour les banques, c’est à dire des équipements qui, de plus en plus, étaient farcis d’électronique. Parallèlement à ses responsabilités de management au sein de l’entreprise familiale, Didier devint, hérédité médicale de son côté aidant, président de la médecine du travail de Sarreguemines. Cette même année, 1975, leur troisième fils, Geoffroy, naquît ainsi à Sarreguemines.
En 1984, tandis qu’il battait le pavé parisien au cours de l’historique manifestation de défense de l’enseignement libre, il rencontra, manifestant comme lui, Claude HENRY qui, appelé à des responsabilités plus importantes au siège de LEROY-SOMER à Angoulême, se cherchait un successeur pour diriger les usines du groupe en Rhône-Alpes. Didier quitta donc l’entreprise HAFFNER afin de diriger les sept usines employant sept cent personnes pour produire de petites machines électro-mécaniques. Il s’installa à Saint-Cyr au Mont-d’Or à côté de Lyon.
Mais, en 1989, devant les difficultés économiques de l’entreprise familiale, Didier lâcha les usines qu’il dirigeait pour reprendre la direction d’HAFFNER. Il ne put cependant empêcher le dépôt de bilan en 1991 et ne se remit jamais complètement de la disparition de cette entreprise (depuis cette date, tous les grands noms de ce secteur ont disparu au profit d’une seule entreprise multinationale qui a effacé les diverses entreprises familiales).
Didier prit alors, en 1992, la direction générale des quatre sociétés d’un groupe lyonnais, PIV, qui fabriquait des produits de transmission mécanique, des variateurs électroniques de vitesse, des machines à emballer. Il eut la lourde et pénible tâche de "dégraisser les effectifs" et, en 1994, il fut "de la dernière charrette" de cette entreprise que son patron ferma peu après.
Une longue période de chômage s’ensuivit... avec le cortège de problèmes de santé qui accompagne bien souvent ces difficultés professionnelles. Pendant ce temps, Nadou créa une association de service à domicile (auprès de personnes âgées, de malades, de mamans...) dont elle vient juste de céder la responsabilité.
Fin 2008, à l’occasion d’un banal contrôle de santé, un incident technique amena des sucs gastriques dans ses poumons. Après une période en réanimation, il fut autorisé à se reposer en famille et le 3 mars, alors qu’il était en vacances dans les Vosges avec Nadou et l’un de ses trois fils, il ne s’est pas réveillé. Il repose en terre Lorraine, à Nancy.
Didier et Nadou ont donc eu trois fils et, pour l’instant, ils ont six petits-fils. Leur aîné fait de la gestion d’actifs à Paris (Asset-management pour les experts), le second est kinésithérapeute et ostéopathe à Arras, et le troisième est ingénieur en aéronautique chez Dassault à Saint-Cloud.
Jean-Paul Bourgès (1967) - 8 mai 2009
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CHAMALIÈRES Nicole BOSSER, son épouse ; Isabelle et Anne-Laure, ses filles ; Monsieur et Madame André BOSSER ; Les familles CONSTANTIN, MICHEL, POTTEAUX, BOSSER, MARLIER, vous font part du décès accidentel de |
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| Monsieur Georges BOSSER | |
à l'âge de 67 ans. |
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La cérémonie religieuse aura lieu mercredi 12 septembre 2012 à 10 h 00 , en l'église Notre-Dame de Chamalières. La crémation aura lieu dans l'intimité. Condoléances sur registre |
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Ni fleurs, ni plaques, ni couronnes. Des dons seront recueillis au profit de la recherche contre le cancer. La famille remercie toutes les personnes qui prendront part à sa peine. Vous pouvez déposer vos messages de condoléances et témoignages sur ce site " avis-de-deces.net ". |
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LYON Martine VALLEZ, son épouse et la famille vous font part du décès de |
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| Pierre VALLEZ | |
le 16 décembre 2012 à l'âge de 68 ans. |
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Pierre sera enterré le mercredi 19 décembre au nouveau cimetière de Loyasse de Lyon. Auparavant une messe sera célébrée à l'église Saint-Georges (communauté traditionnelle) que Pierre fréquentait régulièrement ; le rite pratiqué le satisfaisait totalement ; il disait arriver à se recueillir pleinement, il y retrouvait sa jeunesse et ses grand-mères avec lesquelles il est si souvent allé à la messe et aux vêpres étant gamin. La messe aura lieu à 14 h30 et sera célébrée par l'abbé Hugues de Montjoye. |
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Hommage à Pierre VALLEZ 1944 - 2012
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Pierre VALLEZ était né le 22 août 1944 à Châteauroux. Il avait fait ses classes prépa au lycée Charlemagne et, après Supélec, il fit son service militaire dans la Marine, à Brest, où il eut l'occasion de faire quelques tours dans l'eau de la Bretagne à la Grande-Bretagne. Puis sa vie ce fut "C'est SHELL que j'aime" comme disent les auvergnats lorsqu'ils veulent désigner l'amour de leur vie. Il entra, en effet, dans cette entreprise en 1969 et y prit sa retraite. Il y rencontra aussi Martine en apprenant ensemble les charmes des ordinateurs UNIVAC. Il en résulta un mariage en 1970 et un double rôle de chef de projet, au service de SHELL d'une part, de mari et père de famille d'autre part. Sur le plan professionnel il a énormément bourlingué pour SHELL puisqu'après son premier poste au siège rue de Berri à Paris, il se retrouva pour deux ans au Cameroun, puis encore deux ans en Côte d'Ivoire et une année en Haute-Volta (désormais le Burkina-Faso) à Ouagadougou. Retour en France, à Nancy, pour apprendre le monde du chauffage dans une filiale de SHELL, puis au siège de SHELL-France à Paris, suivi par deux années à Lyon en 1985 - 1986 comme responsable d'un district couvrant l'Auvergne et Rhône-Alpes, de nouveau Paris puis Londres de 1990 à 1994 d'où il coordonnait l'activité de SHELL sur la partie nord de l'Afrique. Il fut ensuite chargé de diriger à Bordeaux une entreprise vendant du fuel pendant quatre ans et cette période aurait été l'une des plus heureuses pour eux sans le déclenchement du cancer qui l'a finalement vaincu fin 2012, après d'innombrables traitements en chimio et rayons. Sa carrière n'était pas terminée chez SHELL puisqu'il revint au siège, d'où il s'occupa quelques temps de la vente de terrains appartenant à SHELL autour de l'Étang de Berre, avant de diriger une filiale commercialisant des billes de plastiques, qui sont un sous-produit pétrolier, avec une usine au Havre et une autre au Brésil où il se rendait donc régulièrement. Il prit sa retraite en 2006 et vint s'installer à Lyon d'où il pouvait se rendre commodément dans la vallée de Chamonix au pied du Mont-Blanc dont il était un grand connaisseur par ses randonnées, mais aussi comme bibliophile averti ayant constitué une bibliothèque d'ouvrages rares sur le sujet. Avec Martine ils avaient commencé en maîtrisant ensemble UNIVAC, mais ils eurent, surtout, trois garçons. Olivier, né en 1971 à Paris, est juriste à la Cour de Justice européenne de Luxembourg et ses études des langues orientales l'ont amené à épouser une Japonaise. Ils ont eu cinq enfants, dont un garçon décédé accidentellement il y a un peu plus d'un an. Nicolas, né en 1975, à Douala, a fait Sup-Aéro et il travaillait chez Lehman-brothers quand eut lieu la célèbre faillite. Il trouva une nouvelle vie professionnelle chez LAZARD à Londres. Il a épousé une Azéri de Bakou et ils ont une petite fille. Étienne, né en 1979, à Nancy, a fait l'École de commerce d'Angers et il est consultant chez Accenture. Il est marié et habite à Montrouge. Ils ont deux filles et un troisième enfant arrive prochainement. Pierre est décédé le 16 décembre 2012, chez lui, à Lyon et il fut accompagné dans son dernier voyage, notamment, par une dizaine de camarades, tous porteurs d'un simple pot de pensées qu'ils posèrent sur sa tombe. Jean-Paul BOURGÈS (Supélec 1967)
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Décès de Jean BONAL (1942 - 2013)
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François BONAL a le regret de vous annoncer le décès de son père Jean BONAL Ces obsèques auront lieu le mercredi 15 mai à 11 h Une seconde messe aura lieu le samedi 18 mai à Ytrac (Cantal 15). |
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Décès d'André Liénaert (1942 - 1980) (accident de voiture) |
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Transmis par Jean-Pierre D’Hulster (E 1967) le 27 février 2016. |
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Décès d'Alain DURIF (1936 - 2016) Odette Durif, son épouse, Alain DURIF le 19 mai 2016 à Valence. |
Note de l'administrateur : Alain Durif était à Supélec en tant que délégué de l'Armée de l'air
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Décès de Christian BOISROBERT (1944 - 2016)
Jocelyne Boisrobert, son épouse ; M. Christian BOISROBERT survenu le 26 août 2016, dans sa 72e année. La famille souhaite contribuer à la recherche sur le cancer. |
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Décès de Gérard FLESSELLES (1935 - 2018)
Nous avons la douleur de vous faire part du décès de Monsieur Gérard FLESSELLES survenu le lundi 15 octobre 2018, dans sa 84e année.
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 Michel de Beaumont réunion promotion, le 27 mai 2005 décédé le 21 décembre 2017 |
 Jean ASTIER réunion promotion, le 27 mai 2005 décédé le 12 janvier 2018 |
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Décès de Paul Traband (1942 - 2019)
Jacqueline Traband, son épouse, M. Paul TRABAND survenu le 14 février 2019. La famille apprécierait des dons à l'ARSLA (don.arsla.org) plutôt que des fleurs. |
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Paul Traband est :
Chevalier dans l'Ordre de la Légion d'Honneur, |
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Décès de Bernard Peuto (1943 - 2019)
Anne Peuto, son épouse, M. Bernard PEUTO survenu le 10 février 2019. |
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Décès d'Alexandre HAEFFNER (1944 - 2025)
Catherine Haeffner, son épouse, Alexandre HAEFFNER le jeudi 2 janvier 2025, dans sa 81eannée, à son domicile (à Clamart) |
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(Carnet du jour du Figaro du 9 janvier 2025) |
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Alexandre Haeffner est :
né le 29 septembre 1944 à Vienne Autriche, Supélec R 1967. |
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modifié le 19 février 2019 révisé le 25 juillet 2021 2021 modifié le 2 janvier 2025 et le 20 février 2025